lundi 11 décembre 2023

PAINTER CLAUDE DUBOIS

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L'AMERIQUE DU NORD UN BOUT DE TERRE QUI ME FAIT REVER MOI LE PEINTRE QUI AU SON DE LA COUNTRY A UN GRAND PLAISIR A RETRANSMETTRE MES SENTIMANTS SUR LA TOILE...Le rêve américain au bout des PINCEAUX

samedi 2 septembre 2023

INTERNATIONAL Crépuscule des Dieux : la mort sans surprise et sans gloire des leaders du groupe Wagner

INTERNATIONAL Crépuscule des Dieux : la mort sans surprise et sans gloire des leaders du groupe Wagner INTERNATIONAL Crépuscule des Dieux : la mort sans surprise et sans gloire des leaders du groupe Wagner Crédit photo : PLATEL / Wikimedia Commons Pour de nombreux observateurs des événements survenus en Russie au cours des derniers mois, la mort d'Evgueni Prigojine lors d'un crash aérien le 24 août, deux mois après l'échec de sa mutinerie contre les autorités militaires russes et de sa « marche pour la justice », n'a pas été une surprise. On a plutôt été surpris que le flamboyant leader du groupe Wagner soit non seulement resté en vie après sa rébellion, mais qu'il ait ensuite rencontré Vladimir Poutine et repris ses activités en Afrique. Des activités poursuivies par Prigojine jusqu'à la veille de sa mort, selon une reconstitution du Wall Street Journal résumée par Le Point. Si le Kremlin a vigoureusement nié toute implication dans la chute de l'Embraer Legacy 600 à bord duquel se trouvait Prigojine, cela n'a pas convaincu la majorité des commentateurs spécialisés, d'autant que le gouvernement russe lui-même n'exclut pas l'hypothèse d'un « crime prémédité » Pour ceux qui connaissent la longue tradition d'assassinats politiques en Russie, la seule question qui vaille est de savoir si l'ordre de liquider Prigojine est venu directement du président russe ou de l'intérieur des forces armées. Comme l'a noté Fiona Hill, biographe de Poutine et ancienne conseillère à la Maison Blanche, il existe une certaine symétrie entre le crash du 24 août et l'abattage d'avions de l'armée russe par les forces de Wagner le 24 juin ; pour Fiona Hill, la manière dont Prighozin a été éliminé suggère un acte de vengeance de l'armée de l'air russe. Il convient de noter qu'Evgueni Prigojine n'a pas été le seul dirigeant de Wagner à être tué le 24 août, mais que le crash a également entraîné la mort du cofondateur et chef opérationnel du groupe, Dmitri Outkine. Contrairement à l'homme d'affaires et ex-detenu Prigojine, Outkine avait commencé sa carrière en tant qu'officier des services de renseignement russes. Devenu ensuite mercenaire, il avait acquis une certaine notoriété au sein des « Forces slaves » en Syrie, combattant pour le compte du président syrien Bashar-al-Assad. Selon le Journal officiel de l'UE, Outkine a personnellement ordonné la torture à mort filmée d'un déserteur dans la region de Homs en juin 2017, anticipant des actes analogues de la part du groupe Wagner pendant la guerre en Ukraine. Fervent admirateur du Troisième Reich qui avait l'habitude de signer ses documents « SS » et qui portait des tatouages nazis sur son cou, c'était Outkine qui donna le nom « Wagner » au groupe en honneur du compositeur fétiche d'Hitler. Certains pensent que Vladimir Poutine a manqué de discernement politique en favorisant la montée de son ancien « cuisinier » Prigojine – une créature qui s'est échappée en quelque sorte à son créateur. Presque tous s'accordent néanmoins à dire que la position du président russe s'est considérablement renforcée depuis le 24 août. Son désir de reprendre le contrôle sur des structures paramilitaires potentiellement dangereuses est clair : deux jours après la mort de Prigojine, Poutine a signé un décret stipulant que les soldats de ces formations doivent désormais faire un serment d'allégeance à la Russie et « respecter de manière sacrée la Constitution russe ». L'enterrement de Prigojine s'est par ailleurs déroulé dans la discrétion, dans l'absence de Poutine mais avec un important dispositif de sécurité au cimetière, comme pour décourager toute manifestation subversive de la part des « wagnériens » les plus irréductibles. Dans un entretien pour CNN, le politologue Abbas Gallyamov, qui écrivait les discours de Poutine dans les années 2000, voit néanmoins un certain signe de faiblesse dans sa volonté d'absorber ce qui reste du groupe Wagner et donc de le dissoudre en tant qu'entité quasi-autonome. Gallyamov note que Wagner avait été utile à Poutine lors de la phase d'expansion russe en Ukraine, mais beaucoup moins lors des opérations défensives menées à l'heure actuelle. Se débarrasser de Prigojine serait donc une admission de la fin des grandes opérations offensives russes. L'avenir du groupe Wagner reste incertain pour l'instant. Spécialiste des conflits armés non-traditionnels auprès de la Brookings Institution, Vanda Felbab-Brown affirme qu'on a eu tendance à surestimer l'importance de Prigojine au sein du groupe, dont les activités lucratives – en particulier en Afrique – pourraient bien continuer sous une autre forme. Surtout étant donné que les contrats avec les chefs d'état ont été signés avec le groupe Wagner plutôt que Prigojine en personne. Vanda Felbab-Brown pense également que Wagner pourrait encore exister à moindre échelle à côté d'autres formations militaires privées, plus facilement contrôlables pour Moscou que l'empire de Prigojine. Il semble pourtant évident que le Kremlin ne permettra pas l'essor d'un chef aussi charismatique (et ambitieux) que l'auteur du putsch avorté du 24 juin 2023, qui restera gravé dans les annales de l'histoire militaire de la Russie comme un de ses épisodes les plus déroutants.YES OK:

mercredi 29 mars 2023

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samedi 4 février 2023

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dimanche 22 janvier 2023

Cela fait 40 ans que le pain se dégrade.

 

« Une odeur beurrée, un petit goût de noisette, une saveur acidulée et une couleur crème tirant sur le blond » … « un régal »… « une tuerie !! »

Chers amis,

Le problème du pain ne date pas d’hier. Cela fait 40 ans que le pain se dégrade.

Certains consommateurs refusent le pain de mie qui ressemble à de la mousse sous plastique.

  • ils se sont tournés vers le pain complet
  • puis le pain bio
  • puis le pain au levain
  • puis le pain cuit au four à bois
  • puis le pain à l’eau de source
  • puis le pain à la fleur de sel
  • puis le pain façonné à la main
  • puis les pains sans additifs, sans enzymes, ni acide ascorbique (c’est la “baguette tradition”)

À chaque innovation, ils sont pleins d’espoir. Ils se disent :

Enfin, un vrai bon pain qui ne torturera pas mes intestins, un pain savoureux qui me fera du bien…”

La réalité, c’est qu’ils sont déçus à chaque fois. Le pain révolutionnaire n’est pas aussi bénéfique qu’espéré.

Pourquoi ?

Question de blé, de levain, de fabrication :

Les blés anciens sont rares et précieux

Les blés anciens de Mésopotamie n’avaient que 14 chromosomes (contre 46 pour les blés hydrides modernes).

Ils poussaient sur des sols pauvres, rocailleux, sans glyphosate ni pesticides.

Surtout, ils ne supportaient pas les engrais. Ils produisaient aussi, c’est logique, dix fois moins que les blés actuels de la Beauce. Et les récoltes étaient soumises aux aléas du climat, des maladies, des rongeurs et des insectes.

Le blé était moissonné à la serpe, puis battu avec des fléaux en bois, enfin vanné à la main (pour séparer le grain de la bâle, c’est-à-dire l’enveloppe).

Le grain était moulu délicatement, sur de grandes meules de silex qui tournaient très lentement. Cela évitait d’échauffer le grain et produisait une farine grasse, pleine de nutriments (aujourd’hui, les moulins séparent les farines et suppriment le germe et le son).

Encore plus important, la farine fraîche était mélangée à une eau de source pure, sans chlore.

Chaque village avait son propre levain

Mais la plus grande différence entre le pain de l’Antiquité et le nôtre, c’est le levain.

Le levain n’a rien à voir avec la “levure de boulanger”, levure de bière et encore moins levure chimique.

Il est constitué d’une flore microbienne complexe, bactéries lactiques, levures et même moisissures totalement dépendante du lieu où il a été fait.

Chaque village avait son propre levain, et le goût du pain n’était pas le même d’une région à l’autre. C’est pourquoi le pain que l’on mangeait à Babylone, à Nazareth, à Rome autrefois, n’avait rien à voir !

Il se conservait précieusement pendant des décennies voire des siècles (on l’appelait le “levain-chef”). On le cachait dans un endroit tenu secret. On en prélevait un peu pour chaque nouveau pain. Ce levain s’offrait, on l’emportait quand un membre du village partait en voyage.

Certains villages étaient connus pour détenir des levains exceptionnels qui donnaient à leurs habitants santé et longévité. Est-ce un hasard si le nom de “Bethléem” signifie, en hébreu, la “Maison du Pain” (Beth = maison, Léem = pain) ?

Ce pain si précieux semblait disparu à jamais, et pourtant...

... il est revenu à la vie !

Et vous pourriez même en déguster chez vous.

Pour découvrir comment, je vous invite à cliquer sur le bouton ci-dessous :

>> Cliquez ici pour découvrir le pain de nos ancêtres <<


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Amicalement,

Florent Cavaler